Je cherche en vain une image pour introduire ce post, mais rien à faire, le net ne propose aucune image honnête sur ce lieu tel qu'il s'offrait à nous dimanche. Je veux dire, aucune sous un ciel relativement couvert, habitée de toutes parts par les montagnes de muscles du terroir (gossbô surfeurs ? Même pas sûr. Est-ce que les dieux de la glisse aquatique s'emmerderaient à exposer leur schwarzenegersque plastique saillante à longueur de journée, sous l'ombre des palmiers artificiels du centre-ville, à la vue d'un maximum de passants, hein ? C'est comme ça qu'on cuisine sa virilité, fièrement exhibée ici et en club - j'en ai eu la preuve vendredi, tout riquiqui que je me sentais au milieu de 30 deuxièmes lignes de rugby - : prendre un physique lambda, charger le muscle de protéine jusqu'à le rendre aussi pavé qu'un cabillaud Captain Igloo, négliger la tête, badigeonner d'huile, laisser cuire plein feu sous un soleil non-protégé par la couche d'ozone, et selon saison et salon de démonstration, servir torse-nu ou emballer dans une parure Guess).
Et pis de mon côté, je n'ai pas trouvé une seule image à capturer. Pour faire vite, c'est la Grande Motte des 90's (l'architecture/le bétonnage est moins hideux mais tout aussi envahissant) + de gentilles vagues + des coréens à la place des hollandais - moins qu'en ville, notez bien. Sauf que la Motte Supérieure est à 1 h de chez moi, là où j'ai fait l'exploit de mettre 3 h30 (!) pour revenir jusqu'à la hostfamily depuis cette portion pas franchement réjouissante de la Gold Coast.
C'est tout ? Bah, je me rattraperai sur une future expédition qui en vaille plus la peine.
Bises.
Derniers plans, une invitation
Il y a 7 ans
2 commentaires:
Bon d'accord sans le soleil les surfeurs et les surfeuses sont moins nombreux et moins mis en valeur, mais un effort penses à ceux qui attendent dans la pluie et le froid de belles images...du rêve quoi!
Il ne fait pas si beau que ça ces derniers jours... Patience, le printemps va venir doucement s'installer.
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